Une mineure malade mentale violée par un étudiant

Une affaire de viol répugnant a été jugée, avant-hier, jeudi 5 juillet 2024, devant la barre de la Chambre criminelle de Pikine-Guédiawaye. Une mineure de 16 ans, déficiente mentale a été victime de viol commis sur elle par l’étudiant Papy Coulibaly, De l’accusation, il ressort qu’après le viol qu’elle a subi dans la chambre de son bourreau.

La maman de la fille, commerçante et toujours entre quatre avions a soumis sa fille à un interrogatoire serré. En pleurs, cette dernière révèle que Papy Coulibaly l’avait invitée à son domicile et contrainte à entretenir un rapport sexuel avec lui. La fille poursuit qu’elle a crié de douleur au moment du rapport sexuel et que c’est la mère de son bourreau qui est venue l’extirper de l’emprise de son fils qu’elle a même injurié et battu.

La victime rapporte à sa mère que Odette, qui a remarqué qu’elle saignait, l’a amenée dans les toilettes pour lui faire prendre un bain, avant de l’aider à porter une serviette hygiénique et de lui prête des vêtements de sa propre fille. Elle l’aurait ensuite conduite directement chez elle, avant d’attendre qu’elle se déshabille et lui rende les habits.

Devant les policiers enquêteurs, l’adolescente réitère les mêmes accusations et ajoute que la mère de Papy Coulibaly, la ramenant chez elle, après le viol, lui avait même offert de la banane, tout en lui demandant de se calmer. Pour clore son audition, elle affirme : «Après, Papy a continué à m’inviter chez lui, disant qu’il m’aimait et allait m’épouser, mais au fil du temps, ma mère a fini par tout découvrir. »

Les services d’un gynécologue du centre hospitalier Dalal Jam sont requis aux fins d’examens sur la personne de Nd. M. Diouck. Les. conclusions du rapport médical effectué le jour même, établissent “une lésion ancienne de l’hymen datant de plus de 48 heures chez une fille souffrant de retard mental”. Les médecins suggèrent également une expertise psychiatrique de la victime, en complément de ce rapport.

Jugé avant-hier, par la Chambre criminelle de Pikine Guédiawaye, la victime Nd.M.Diouck, soutenue par sa mère, a réitéré les mêmes accusations et faits du viol qu’elle a subi, lors de l’enquête préliminaire, alors que l’accusé Papy Coulibaly maintenait ses dénégations. La Chambre a mis l’affaire en délibéré au 6 août prochain.

Une mineure déficiente mentale de 16 ans a été violée par un étudiant… Les faits ont eu lieu à la cité Cour Suprême, sise à Wakhinane Nimzatt, à Guéiawaye dans la banlieue dakaroise.

Une affaire de viol répugnant a été jugée, avant-hier, jeudi 5 juillet 2024, devant la barre de la Chambre criminelle de Pikine-Guédiawaye. Une mineure de 16 ans, déficiente mentale a été victime de viol commis sur elle par l’étudiant Papy Coulibaly, De l’accusation, il ressort qu’après le viol qu’elle a subi dans la chambre de son bourreau.

La maman de la fille, commerçante et toujours entre quatre avions a soumis sa fille à un interrogatoire serré. En pleurs, cette dernière révèle que Papy Coulibaly l’avait invitée à son domicile et contrainte à entretenir un rapport sexuel avec lui. La fille poursuit qu’elle a crié de douleur au moment du rapport sexuel et que c’est la mère de son bourreau qui est venue l’extirper de l’emprise de son fils qu’elle a même injurié et battu.

La victime rapporte à sa mère que Odette, qui a remarqué qu’elle saignait, l’a amenée dans les toilettes pour lui faire prendre un bain, avant de l’aider à porter une serviette hygiénique et de lui prête des vêtements de sa propre fille. Elle l’aurait ensuite conduite directement chez elle, avant d’attendre qu’elle se déshabille et lui rende les habits.

Devant les policiers enquêteurs, l’adolescente réitère les mêmes accusations et ajoute que la mère de Papy Coulibaly, la ramenant chez elle, après le viol, lui avait même offert de la banane, tout en lui demandant de se calmer. Pour clore son audition, elle affirme : «Après, Papy a continué à m’inviter chez lui, disant qu’il m’aimait et allait m’épouser, mais au fil du temps, ma mère a fini par tout découvrir. »

Les services d’un gynécologue du centre hospitalier Dalal Jam sont requis aux fins d’examens sur la personne de Nd. M. Diouck. Les. conclusions du rapport médical effectué le jour même, établissent “une lésion ancienne de l’hymen datant de plus de 48 heures chez une fille souffrant de retard mental”. Les médecins suggèrent également une expertise psychiatrique de la victime, en complément de ce rapport.

Jugé avant-hier, par la Chambre criminelle de Pikine Guédiawaye, la victime Nd.M.Diouck, soutenue par sa mère, a réitéré les mêmes accusations et faits du viol qu’elle a subi, lors de l’enquête préliminaire, alors que l’accusé Papy Coulibaly maintenait ses dénégations. La Chambre a mis l’affaire en délibéré au 6 août prochain.